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Vendée Noirmoutier – Bientôt un nouveau navire de sauvetage SNSM à l’Herbaudière

Vendée Noirmoutier – Bientôt un nouveau navire de sauvetage SNSM à l’Herbaudière




Entre les dons, les cagnottes et le soutien des collectivités territoriales et locales, la SNSM devrait réussir à réunir bientôt les 1,3 millions d’€ nécessaire à l’achat d’une nouvelle vedette de sauvetage à L’Herbaudière (Ile de Noirmoutier).
Lors de la Commission permanente du Conseil régional des Pays de la Loire, sous la présidence de Christelle Morançais, la Région a examiné sa 1ère enveloppe de l’année d’un montant d’un peu plus de 216 millions € afin de déployer ses politiques sur le territoire régional.

Milieu halieutique et sécurité des milieux marins
Soucieuse de la sécurité en mer et consciente du rôle de la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM) en sa faveur, la Région des Pays de la Loire intervient pour moderniser ses équipements à hauteur de 25% des coûts éligibles.
Dans le cadre des actions mises en place pour accompagner le développement du milieu halieutique et du soutien à la sécurité des milieux marins, 325 000 € ont été attribués au financement d’une vedette de sauvetage d’un coût total estimé à 1,3 million d’€ (soit 25% du coût).
Cette nouvelle vedette viendra en remplacement de l’actuel canot tous temps utilisé à la station de l’Herbaudière, le « Georges Clémenceau II » mis en service en 1990 (voir photo de Une © Photo: SNSM).

Type de bateau de sauvetage
La SNSM prévoit la mise en service d’une nouvelle gamme de navires de sauvetage, plus cohérente, adaptée à l’évolution des missions et avec des coûts de possession mieux maîtrisés.
Les canots tous temps seront progressivement remplacés par de nouveaux navires hauturiers de 1ère et 2ème classe.
Le « Georges Clémenceau II » sera remplacé par un navire de sauvetage hauturier de 1ère classe d’une longueur de 17,15 m pouvant accueillir 6 membres d’équipage.
Le positionnement d’un moyen hauturier à l’extrémité de l’île de Noirmoutier est indispensable pour pouvoir intervenir dans des délais raisonnables et par mer dégradée, d’autant plus que les canots tous temps les plus proches sont basés au Croisic et à l’île d’Yeu, se trouvant à 35 miles nautiques.

Philippe Brossard-Lotz
Le Reporter sablais




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