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Jean-Paul Belmondo. France Paris. La disparition d’un monument du Théâtre et du Cinéma (Rédaction Les Sables d’Olonne)

 

 

Jean-Paul Belmondo. France Paris. La disparition d’un monument du Théâtre et du Cinéma

Brillant acteur de théâtre, on le connaît davantage pour sa carrière au cinéma, forte de 80 films.
Sans pour autant oublier les grands acteurs masculins que furent les Gabin, Rochefort, Lino Ventura, Bourvil, Louis de Funes et bien d’autres, force est de reconnaître qu’il faisait partie – avec Alain Delon – des monstres sacrés du cinéma français.
Sa popularité était immense et il avait su franchir les décennies sans subir ce que craigent par dessus tout acteurs ou chanteurs, l’oubli…

Disparition de Jean-Paul Belmondo – © Photo d’archives – Collection particulière

Jean-Paul était né le 9 avril 1933.
Passionné de comédie, il fit le Conservatoire national d’art dramatique à partir de 1952.
Il fit sensation – beaucoup plus tard – en jouant « Cyrano », mis en scène par Robert Hossein.

Une autre passion le poursuivait: il avait la boxe chevillé au corps. Sportif dans l’âme, il s’essayait à tous les sports. On pouvait le voir dans les salles pugilistiques ou, parfois, dans le club sportif du Racing-Club dans le Bois de Boulogne.

Sa carrière est immense et comporte des films qui ont tenu fréquemment la tête du box-office.
Il était devenu le roi du film populaire et d’aventure. Les Français, malgré son début de carrière marqué par d’excellents films « d’auteur » durant la nouvelle vague du cinéma – se satisfaisaient pleinement des films qui ont suivis où se mélaient cascades, aventure, flings, torse musclé, charme et séduction.
« L’As des as », « L’homme de Rio », « Le Magnifique » étant les films les plus marquants de ce style.

Il est décédé ce 6 septembre 2021 à l’âge de 88 ans.
La disparition d’un monument du théâtre et du cinéma français.
Il avait obtenur le César du meilleur acteur dans le films « Itinéraire d’un enfant gâté » de Claude Lelouch.

Alain Delon s’est dit, aujoud’hui, anéanti par cette disparition.

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

 

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