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Les Sables-d’Olonne Vendée. Remblai Villa Buet: même celle-là ils ont osé !

 

 

Les Sables-d’Olonne Vendée.

Partie 1: résumé de l’affaire de l’assassinat pour la famille Buet
Partie 2: le domicile des Buet
Partie 3: même celle-là, ils ont osé !

 


Partie 1: résumé de l’affaire de l’assassinat pour la famille Buet

Souvenez-vous, il s’agissait de l’assassinat de la gare.
L’affaire remontait au mercredi 8 novembre 1899 aux Sables d’Olonne.

L’arrivée du train en gare des Sables

Louis-Victor Charret avait tiré sur sa femme Gabrielle à la sortie de la gare des Sables-d’Olonne.
En ce mercredi 8 novembre 1899, M. Charret est assis à la même place depuis quelques minutes quand le train fit son entrée en gare des Sables. Sur le même trottoir, la bonne de Mme Charret attendait sa maîtresse qui devait arriver par le train de 19h30 !
Et l’agent de police Picorit et le gendarme Dubois, de service à la gare, se promenaient en bavardant.

Georges Buet, notaire aux Sables d’Olonne, et son épouse Marie, se trouvaient dans le même train que Mme Charret. Ils venaient de Ste-Hermine* où un professeur du collège Fénelon de La Rochelle avait amené leur jeune fils.
(* Georges Buet, notaire aux Sables d’Olonne, était né à Beauregard. Il avait épousé Marie Landois fille du maire de Ste-Hermine, Pierre Landois.)

 

Georges Buet, notaire aux Sables-d’Olonne (1855 – mai 1920) – Coll. num. Le Reporter sablais

 

Mme Charret rencontrant ses amis Buet sur le quai, à la descente du train, elle les accompagna en causant vers la sortie.
Mme Charret sentit une main peser sur son épaule. Elle se retourna et vit son mari qui la suppliait à voix basse de lui accorder un court entretien particulier. Sans répondre, Mme Charret continua son chemin et s’éloigna avec les époux Buet.
A la sortie de la gare, elle remit au garçon de l’omnibus Billerot son bulletin de bagages pour que ceux-ci soient portés à son domicile.
M. et Mme Buet se trouvaient encore sur le trottoir causant avec d’autres voyageurs. Amis et membres des familles, venus attendre les passagers, se trouvaient dans la cour de la gare. Tous se dirigeaient lentement vers la ville, et Mme Charret se trouvait peu éloignée d’eux.

La Cou de la gare des Sables d’Olonne et les fiacres omnibus vers 1900

Photo extérieure de la gare. Cour de la gare vers 1900.


Gabrielle Charret remonta pour rejoindre les Buet et le petit groupe, après avoir remis son bulletin de bagages.
Mais M. Charret, poursuivit lui aussi le même chemin menant de la gare vers le centre ville, laissant son épouse prendre une avance de quelques pas.


Six coups de révolver Lebel
Au moment où Gabrielle Charret allait atteindre ses amis, Louis-Victor Charret tira de sa poche son revolver d’ordonnance Lebel – d’une portée d’environ 25 mètres avec des balles de 8mm – et fabriqué à la Manufacture d’armes de St-Etienne – et en déchargea d’un tir continu les six coups. Alorrs que les détonations retentirent successivement, des cris d’angoisse s’élevèrent de tous côtés.

Revolver d’ordonnance 8mm Lebel – 6 coups

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Un cri « ah! mon Dieu ! » sortit de la poitrine de Mme Charret.
Plusieurs balles, au moins quatre, frappèrent Mme Charret.
Mme Charret, blessée, s’enfuya éperdue.

Les époux Buet atteints par des projectiles
Mais, elle ne fut pas la seule atteinte: il y eut au total quatre victimes. Les époux Buet, atteints par les projectiles, s’affaissèrent.
Georges Buet, le notaire, fut atteint d’une balle dans les reins.
Tandis que son épouse, Marie, fut touchée par une balle à la hanche droite.
Plus loin le douanier Baudrier, venu avec son fils en spectateurs à l’arrivée du train, tomba au sol la cuisse droite traversée par une balle perdue.
La dernière balle alla frapper les vitres du café-concert Théau / Café National, situé en face de la Gare.

Le barillet du revolver ne pouvant contenir que six balles – et non huit – , il est certain que les deux balles Lebel ayant frappé M. et Mme Buet avaient traversé précédemment le corps de Mme Charret.
Six coups de révolver, quatre victimes, dont deux blessés très grièvement, tel est l’acte fou commis par M. Charret.

(…) (…) (…) (…)


Grave blessure pour Mme Buet

Georges et Marie Buet, ne se croyant que légèrement blessés, se rendirent chez leur médecin habituel, le docteur Canteteau; accompagnés de celui-ci, ils regagnèrent à pied leur domicile situé sur le Cours Blossac.
Sur le chemin, on leur témoigna de nombreuses marques de sympathie.
Georges Buet avait été atteint d’une balle; une exploration était projetée pour trouver la balle qui l’avait frappé et avait pénétré assez avant dans les chairs; le docteur Gaston, de Vairé, avait été appelé pour trouver, par la radiographie, le projectile; mais les appareils radiographiques n’avaient pu être transportés aux Sables d’Olonne à cause de leur extrême sensibilité.
Georges Buet souffrait d’une fièvre ardente mais selon le médecin il était hors de danger, et le samedi 11 novembre 1899, il put se lever et se promener dans la cour de sa maison.

Par contre, on s’aperçut que la blessure de Mme Buet était grave, la balle entrée dans la hanche droite avait perforé les intestins, mettant ainsi ses jours en danger.
Le chirurgien Poisson, de Nantes, mandé par télégraphe, arriva à 1h du matin. Il constata ainsi que les médecins des Sables l’avaient fait, que l’intestin avait été perforé par la balle mais en raison de l’heure nocturne il différa toute exploration.
Le lendemain, aucun des médecins présents n’osa encore se prononcer sur l’état de gravité de la blessure malgré le constat d’une légère amélioration dans l’état général de la blessée. Les docteurs Canteteau, Gaudin, Andreau et le chirurgien M. Poisson, du fait de cette légère amélioration, décidèrent qu’aucune opération n’aurait lieu quant à présent.

L’un des journalistes de l’époque, peu favorable à la chirurgie, tint à féliciter ces médecins.
« Deux médecins, Messieurs Buet et Landais, parents de M. et Mme Buet, se joignirent aux consultants. (…)

Mais, le samedi 11 novembre 1899 à midi, elle se vit administrer les derniers sacrements, « et ce ne fut plus à sa porte qu’une longue théorie d’amis qui vinrent, éplorés, prendre des nouvelles de celle que les pauvres connaissaient si bien pour avoir si souvent senti les effets de son inépuisable charité ».
L’état de Mme Buet resta pendant plusieurs jours très grave.
L’amélioration signalée, les mardi 14 et et mercredi 15, dans l’état de Mme Buet, et qui avait décidé les médecins à ne pas exposer la blessée aux risques d’une opération, ne s’était pas maintenue, un état fiévreux survenant. Mme Buet se plaignait de violentes douleurs dans les reins, on crut à la présence d’un phlegmon. Le chirurgien Poisson, de Nantes, fut donc rappelé jeudi.
Le chirurgien Poisson, assisté de nombreux spécialistes, pratiqua une opération: une large ouverture fut pratiquée dans le flanc droit, et le trajet du projectile fut exploré jusqu’à une profondeur de quatorze centimètres, la prudence commandant de ne pas aller plus loin. Mais on ne trouva trace, ni de phlegmon ni de projectile.
Cette opération soulaga la blessée; la fièvre tombée, Mme Buet put prendre des aliments, mais le repos le plus complet fut prescrit par les médecins.

Le 14 novembre 1899, Georges Buet envoya une note à la Presse pour publication – Monsieur le Directeur,
Ne pouvant remercier et rassurer individuellement toutes les personnes qui se sont intéressées à la santé de Madame Buet et à la mienne, à l’occasion des blessures que nous avons reçues, dans le drame du 8 novembre, à la gare des Sables, j’ai l’honneur de vous demander l’insertion de ces quelques mots dans votre estimable journal:
« Monsieur et Madame Buet remercient de tout coeur, les personnes qui se sont intéressées à eux pendant ces tristes journées; ils ont été très sensibles aux nombreuses marques de sympathie qu’ils ont reçues.
L’état de Mme Buet donne bon espoir; celui de M. Buet est aussi satisfaisant que possible. Recevez l’expression de mes sentiments les plus distingués »
L’un des organes de presse indiquait: « M. et Mme Buet sont si estimés et comptent tant d’amis. Par sa haute honorabilité, et par l’importance de son étude M. Buet occupe dignement une place de premier rang dans le monde des affaires de notre département.
Mme Buet, bonne entre toutes, associée à toutes les oeuvres de charité, captivant par son affabilité, sa simplicité toute chrétienne, la bonne grâce de son accueil, elle n’a que des amis ».


Partie 2: le domicile des Buet

(…) Ils regagnèrent à pied leur domicile situé sur le Cours Blossac (…).

Cette habitation a disparu puisquelle se trouvait sur le Cours Blossac, mais côté sud vers la mer, c’est-à-dire du côté où toutes les habitations ont été remplacées par des immeubles.
Elle a été détruite.

Succession Buet
Le notaire Georges Buet, qui a vécu le drame de la gare, est décédé en 1920.
C’est à la suite de cette succession que son fils – également prénommé Georges – va opérer des transformations qui seront réalisées par l’architecte Maurice Durand:
– la transformation de la Villa se trouvant sur le Cours Blossac;
– une élévation au-dessus du Pavilon situé sur le Remblai.

Ci-dessous dessin de la Villa que possédait Georges Buet. Elle donnait directement sur le cours Blossac.
Daté du 18 juillet 1925, ce plan est postérieur à la construction et correspond à une transformation de la façade réalisée par Maurice Durand en 1925 sur la propriété d’origine (habitation et étude de notaire), à la demande de Georges Buet fils.
Il s’agit d’une construction d’une certaine simplicité.
(© Archives du Musée de l’Abbaye Ste-Croix).
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Villa Buet sur le Cours Blossac – Les Sables-d’Olonne Vendée

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L’annexe sur le Remblai
En 1909, soit dix ans après le drame de la gare, Georges Buet, notaire aux Sables-d’Olonne, fit édifier par l’architecte Henri du Houx une annexe à sa Villa du Cours Blossac, sous la forme d’un pavillon se limitant à un rez-de-chaussée donnant sur le Remblai.
L’entrepreneur en fut l’entreprise Hervouet (Sources: Gaëlle Delignon, archives Pays-de-la-Loire).
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Plan du Houx – Villa Buet sur le Remblai (quai Franqueville)

Plan Du Houx – Villa Buet – Les Sables-d’Olonne Vendée © Photo: DR Droits réservés – provenance inconnue

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L’architecte Henri du Houx

Henri du Houx, architecte – Coll. num. Le Reporter sablais – Les Sables-d’Olonne Vendée

 

Le pavillon présente un intérêt certain: il donne sur la mer, et bénéficie d’un accès direct au Remblai et à la plage par une porte excentrée sur la gauche.
Sur le plan architectural on notera « une vaste baie en anse de panier », protégée de larges persiennes, et la décoration intérieure, soignée, comprend des « murs en treillage ».
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Villa Buet sur le Remblai des Sables-d’Olonne Vendée – Coll. num. Le Reporter sablais

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Mais cette photo de carte postale ne donne pas véritablement toute la dimension qu’aura quelques années plus tard cette Villa Pavillon.
C’est le fameux architecte sablais, Maurice Durand, qui va lui donner une envergure certaine grâce à une superbe élévation.

 


Partie 3: même celle-là, ils ont osé !
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Villa Buet – © Musée Abbaye Sainte-Croix

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Plan du Projet 1923 de Maurice Durand
(ci-dessus)

© Musée Abbaye Sainte-Croix

Vers 1920/23, Maurice Durand est chargé « de surélever d’un niveau le pavillon donnant sur la mer » nous indique Gaëlle Delignon.
C’est Georges Buet fils qui sera à l’origine de cette demande, à la suite de la succession réalisée après le décès de son père en 1920.

Ce niveau comprendra trois chambres à coucher donnant sur la mer.
Gaëlle Delignon indique que « l’architecte Durand proposa une extension respectueuse de l’oeuvre de l’architecte du Houx, avec une loggia à colonnes ornée d’une large fresque en mosaïque« .
L’étage est carré, ce qui permet d’imaginer la profondeur de la construction. Le toit est couvert de tuile.
Les deux baies des chambres du 1er étage donnent sur la loggia à colonnes et à toiture débordante.
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Il semble que seule la partie de droite ait été réalisée, c’est-à-dire la surélévation du pavillon existant.
C’est ce que laissent supposer deux plaques de verre, voir ci-dessous (© Musée Abbaye Sainte-Croix).
Deux photos qui ont un intérêt historique certain car elles ont été prises dès la fin de la construction de la surélévation, l’une des photos est signée par Maurice Durand.

Cette surélévation a été achevée à la fin de l’été 1923.

Rez-de-Chaussée:
Sous la corniche du rez-de-chaussée a été réalisée une frise grecque.
A droite de la baie, un cartouche ovale occupe la travée basse.

1er étage:
Si l’on voit bien la toiture débordante, la fresque du 1er étage (une frise en mosaïque) est peu visible sur ces photos. Quatre colonnes ioniques ornent le garde-corps de la loggia, avec aux extrêmités deux colonnes doriques d’angle.
(Sources: Gaëlle Delignon – Inventaire culturel Pays de la Loire).

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Villa Buet – © Musée Abbaye Sainte-Croix

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Villa Buet – © Musée Abbaye Sainte-Croix

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Destruction en 1963-64 – Même celle-là, ils (les promoteurs) ont osé !
D’après nos repères, la Villa Buet a été remplacée par cet immeuble qui se situe donc sur le Remblai, au bas de la rue des Ecoliers. La famille Buet a vendu la propriété en 1963-64 à un promoteur en échange, notamment, de deux appartements (ce qui se faisait systématiquement à l’époque lorsqu’un promoteur achetait une villa pour y construire son projet).

ex-Villa Buet – Les Sables-d’Olonne Vendée

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COMPLEMENT:
Un descendant direct des propriétaires de la Villa Buet vient de nous fournir des éléments complémentaires sur l’histoire de cette Villa.

Voici ses propos:
« Votre article très intéressant et très documenté appelle de ma part quelques précisions concernant la Maison Buet et sa démolition. Cette maison appartenait à ma mère, Marie-Aline Buet, fille de Georges II Buet et de Jeanne David.

« Les projets de Maurice Durand pour la façade sur le cours Blossac, qui faisait le pendant du grand pavillon (…) n’ont pas été réalisés. Seule la surélévation du pavillon de Du Houx avec la loggia à colonnes ioniques a été construite. La propriété comprenait deux maisons anciennes ayant leur entrée sur le cours Blossac, la partie Est était mise en communication avec l’ensemble Du Houx-Durand par un corps de corridor et d’escalier pour rattraper les différences de niveau.

« En ce qui concerne la démolition de cette maison, voici les circonstances qui y ont conduit: après avoir été utilisée comme maison de vacances familiale pendant toutes les années 1950, les usages de ces vacances ayant beaucoup changé lorsque ma génération est devenue adolescente, cette vaste demeure est devenue inappropriée pour un usage d’habitation saisonnière ni même permanente, ne répondant plus aux standards nouveaux du logement.

« Alors que ma mère cherchait une solution d’utilisation de cette maison, un incident est alors survenu qui décida de son sort: le propriétaire de la villa voisine, à l’angle de la rue des Ecoliers, le Dr. Baron, a décidé de faire surélever sa maison de deux étages, en s’appuyant sur la totalité du mur mitoyen, ce qui a causé de très lourds dégâts sur la maison Buet.

« Il s’en est suivi un procès intenté par ma mère, dont l’issue ne permettait pas, en tout état de cause, de revenir à l’état antérieur. Le coût de la confortation et de la restauration de notre maison était hors de portée pour ma mère qui a dû se résoudre à vendre le fonds sur la proposition d’un promoteur immobilier qui a fait démolir l’ensemble des deux maisons anciennes et des adjonctions de Du Houx et Durand et bâtir à cet emplacement l’immeuble actuel sis 52, promenade Georges Clémenceau.

« Nous avons tous été très attristés de cette disparition devenue inéluctable, et qui a été suivie de nombreuses autres, avec le développement de l’urbanisme bétonnier qui s’est emparé des côtes de France dans les « Trente Glorieuses », répondant à une demande accrue de logements de taille réduite pour un tourisme vacancier littoral en constante augmentation.
Cette tendance lourde fut soutenue et favorisée par toutes les municipalités sablaises de quelque couleur qu’elles fussent pendant quarante ans et encore aujourd’hui.

« J’ai pour ma part, alors que j’étais en charge de la protection du patrimoine architectural à la Direction Régionale des Affaires Culturelles à Nantes, tenté à plusieurs reprises d’éviter de nouvelles disparitions, notamment pour la Villa « Sans-Souci », en liaison avec l’Architecte des Bâtiments de France, Jacques Boissière.
Mais on a eu affaire dans ce domaine à une mutation historique lourde de la deuxième moitié du XXe siècle dont ce qu’on appelle d’un terme un peu improbable le « patrimoine balnéaire » a fait les frais. Les propriétaires de ces demeures ont fait ce qu’ils ont pu pour les conserver, mais on ne résiste pas à un rouleau compresseur. »
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Des photos exceptionnelles
Nous le disions plus haut, cartes postales ou plaques de verre ne rendent pas totalement la dimension architecturale et majestueuse de cette Villa à la suite de la surélévation réalisée par Maurice Durand.
Mais nous avons pu retrouver des photos exceptionnelles qui montrent cette Villa dans toute sa majesté.Cela fait frissonner de voir de tels joyaux et de se dire qu’ils ont été rayés du patrimoine sablais, d’un seul trait, d’une signature au bas d’un parchemin…!

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Pavillon Buet par Henri du Houx

Pavillon Buet par Henri du Houx – Source © Photo: L. Robin – Les Sables-d’Olonne Vendée

 

Villa Buet fils par Henri du Houx et Maurice Durand
avec les superbes fresques (frise en mosaïques)

Villa Buet – © Photo: Coll. num. Le Reporter sablais – Les Sables-d’Olonne Vendée

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Villa Buet – Source © Photo L. Robin – Les Sables d’Olonne Vendée

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L’architecte Maurice Durand, décédé en 1978, aura sans doute eu la tristesse de voir disparaître cette Villa, une partie de son oeuvre sablaise, en 1963-64.

Le maire des Sables-d’Olonne était alors Michel LAURENT (février 1960 / 27 mars 1965).
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– Vous possédez des archives ou photos sur la Villa Buet et ses voisines, n’hésitez pas à nous transmettre des copies.
lereportersablais@gmail.com
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Philippe Brossard-Lotz

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

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