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FRANCE Incendies. Dispositif 2023 contre les Feux de Forêts (Réd. Les Sables-d’Olonne)

 

FRANCE Gironde. A l’approche de possibles canicules découvrez le dispositif 2023 contre les Feux de Forêts

Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer ; Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ; Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires et Dominique Faure, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité se sont rendus en Gironde ce mardi 11 avril pour présenter le dispositif 2023 de lutte contre les feux de forêt.

 

BILAN
Avec une surface couvrant un quart du territoire national, soit 15 millions d’hectares de forêt, la France occupe la troisième place des pays les plus boisés de l’Union européenne. Cependant, cette richesse, à laquelle s’ajoute la diversité des zones forestières françaises constituées de plus de 130 espèces d’arbres différentes, rend le territoire plus vulnérable aux incendies.

En fonction des conditions climatiques et météorologiques, ces feux constituent un danger pour les personnes, les biens et l’environnement nécessitant l’intervention de moyens terrestres et aériens importants.

C’est grâce à une politique globale et une véritable stratégie pérenne que la prévention et la lutte contre le feu s’organisent dans notre pays, depuis la prise en compte du risque dans les politiques d’aménagement et d’urbanisme, la prévention au quotidien et la diffusion des bons comportements, la surveillance des massifs, l’anticipation des risques jusqu’à une lutte efficiente et multivectorielle contre les sinistres, ainsi que la recherche des causes et d’éventuels actes délictuels pour traduire les auteurs devant la justice.

Tous les services de l’État mais aussi les services d’incendie et de secours, les communes, les intercommunalités, les conseils départementaux, les associations et les comités feux de forêt sont mobilisés pour lutter contre ce type de feu, la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC) du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer étant en charge du dispositif national.

La direction générale de la Prévention des risques du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires étant chargée de piloter les campagnes annuelles d’information préventive du Gouvernement, pour faire connaître les bons comportements.

Le risque feux de forêt s’étend progressivement à la quasi-totalité du territoire métropolitain. 90 départements ont été concernés par un évènement significatif en 2022. Illustrations concrètes des conséquences du dérèglement climatique, la sécheresse chronique et les vagues de chaleurs caniculaires qui ont touché l’ensemble du pays lors de l’été 2022 sont les facteurs aggravants d’un lourd bilan concernant la lutte contre les feux de forêt et d’espaces naturels.

Les 3 feux hors norme survenus en Gironde (25 000 ha) ont alourdi un bilan déjà plus élevé que les moyennes décennales, comparable à ceux de 2003, 1989 et 1976. Plus de 19711 départs de feux ont été comptabilisés au cours de la saison, dont 547 feux de plus de 5 hectares et 12 de plus de 1000 hectares (97 % des feux sont donc traités par les moyens de lutte avant qu’ils ne dépassent les 5 hectares, valorisant ainsi notre doctrine d’attaque des feux naissants).

Statistiques: incendies de forêt en France

 

Plus que le nombre d’hectares brûlés, c’est la simultanéité des feux d’envergure et leur répartition sur l’ensemble du territoire métropolitain qui représentent les points marquants de la saison 2022. Tandis que le contexte était particulièrement défavorable sur le pourtour méditerranéen, le Finistère et le Maine-et-Loire luttaient contre des incendies de plus de 1 200 hectares et le Morbihan, le Jura, l’Isère, la Loire-Atlantique ou encore la Sarthe faisaient face à des feux de plusieurs centaines d’hectares, les plus importants jamais recensés dans ces départements.

Le bilan européen (supérieur à 780 000 hectares) et la comparaison avec les pays les plus proches permettent de confirmer l’extraordinaire intensité des feux cette année : en Espagne, près de 10 000 feux ont détruit 265000 hectares tandis qu’au Portugal, 10 000 incendies ont détruit plus de 110 000 hectares.

Les moyens terrestres
Pour faire face aux feux de forêt sur l’ensemble de la France, jusqu’à 10 000 sapeurspompiers étaient mobilisés chaque jour. En complément des 24 colonnes de renfort prévues pour la saison, 20 colonnes supplémentaires ont été engagées, représentant 3 080 sapeurs-pompiers venus de nombreux départements, afin de lutter contre les incendies mais également afin de renforcer les centres d’incendie et de secours, sur des interventions de secours à personne ou encore de feux urbains.

Les formations militaires de la Sécurité civile, pré-positionnées pendant tout l’été dans les zones à risque feux de forêt, ont été engagées en 2022 sur 92 incendies d’espaces naturels. Initialement déployés en Corse et sur le pourtour méditerranéen, près de 550 sapeurs-sauveteurs ont oeuvré quotidiennement au maillage territorial de surveillance en complément des services d’incendie et de secours. Mobiles et autonomes, les détachements sont aussi intervenus comme renfort national partout en France, notamment en Gironde ou dans l’ouest de la France. Ils ont ainsi participé au traitement de plus de 52 000 hectares de végétation brulée. 60 kilomètres de lignes de retardant ont par ailleurs été posées et 70 kilomètres de pistes et de pare-feux ont été aménagés par les moyens spécialisés pour lutter contre ces incendies. En Gironde et ce pendant 5 semaines, ils ont également encadré les 4 sections militaires intégrées de l’Armée de Terre, traitant ainsi 42 kilomètres de lisières et permettant l’extinction de 2 262 points chauds.

 

Les moyens aériens
En 2022, les 19 avions bom- bardiers d’eau de la Sécu- rité civile ont réalisé 3 800 heures de vol sur feu. Les 12 Canadair et les 7 Dash ont effectué 8600 largages (contre 3600 en 2021).

Afin de permettre d’ali- menter rapidement les avions bombardiers en eau et en produit retardant quand ils interviennent sur feu, 22 pélicandromes sont implantés stratégi- quement sur le territoire. En 2022, les pélicandromes de Vannes (Morbihan) et d’Epinal-Mirecourt (Vos- ges) ont été activés pour la première fois, illustrant la généralisation du risque feu de forêt sur l’ensemble du pays.

À l’instar des deux années précédentes, le dispositif aérien de la Sécurité civile a été complété en 2022 par la location de deux hélicoptères bombardiers d’eau lourds. L’évolution de la situation a nécessité la réquisition de 8 hélicoptères supplémentaires. Au total, ces 10 appareils ont réalisé 5700 largages.

Mobilisés pour des opérations de reconnaissance et de guidage des bombardiers d’eau, les hélicoptères Dragon de la Sécurité civile ont réalisé quant à eux 298 missions feux de forêt pour 356 heures de vol.

 

La solidarité européenne
Faisant face à des feux d’une ampleur et d’une intensité exceptionnelles, le gouvernement français a décidé dès le début de l’été, et pour la première fois dans le cadre des feux de forêt, d’activer le Mécanisme de protection civile de l’Union en soutien des forces de secours nationales (MPCU).

Le 15 juillet, 2 Canadair grecs sont mobilisés sur le massif de la Montagnette (Bouches-du- Rhône). Engagés à partir du 11 août, 6 avions bombardiers d’eau en provenance d’Italie, de Grèce et de Suède effectuent 150 largages en Gironde et dans le Morbihan. Sur le terrain, en appui des sapeurs-pompiers et des sapeurs-sauveteurs, 360 personnels allemands, autrichiens, polonais et roumains sont projetés à Landiras (Gironde).

Premier pays contributeur au MPCU, la France a également participé cet été à la solidarité européenne: pour la première fois, 50 sapeurs-sauveteurs ont été prépositionnés dans la région d’Athènes en renfort des pompiers grecs.

Dans le cadre du dispositif RescUE, la réserve capacitaire de l’Union européenne, deux Canadair ont été mis à disposition du centre opérationnel européen (ERCC) du 15 juin au 31 octobre.

 

Feux de forêt en France
Feuxs de Forêt en France

 

 

La stratégie de lutte contre les feux de forêt en France

Fort d’une organisation qui a fait ses preuves, le dispositif français de lutte contre les feux de forêt repose sur une anticipation forte pour détecter les feux le plus rapidement possible et engager les moyens adaptés.

La stratégie nationale mise en place par l’État impose des travaux de prévention. Le plan départemental de protection de la forêt contre l’incendie (PDPFCI) définit les grandes orientations en matière de prévention et de lutte contre les incendies, les actions à mener et les objectifs à atteindre en prenant en compte les feux et les aménagements ainsi que leur planification. Les travaux ainsi effectués visent à éviter l’éclosion, puis la propagation des feux sur les zones forestières et faciliter l’intervention des services de secours.

L’obligation légale débroussaillement que prévoit le code forestier dans les départements exposés aux risques d’incendies de forêt contribue au renforcement de cette action de prévention. Dans la majorité des cas, une maison dont le terrain alentour est bien débroussaillé ne sera pas détruite par un feu de forêt.

C’est pourquoi, pour la première fois, le Gouvernement a lancé en 2023 une campagne d’information visant à faire connaître les obligations légales de débroussaillement aux propriétaires concernés, à leur expliquer l’intérêt du débroussaillement et à leur faire savoir quand et comment débroussailler.

L’essentiel sur cette campagne d’information préventive est accessible en ligne sur le site : feux-foret.gouv.fr

Une attaque précoce des feux

L’attaque rapide des feux naissants constitue un pilier de la stratégie française. Pour être traité efficacement dans les secteurs où le risque incendie est élevé, un feu doit avoir parcouru moins de 1 hectare lorsque les premiers intervenants commencent à le combattre.

En période de risque élevé, ce principe doit permettre d’attaquer tout feu dans les 10 minutes suivant sa détection. L’intervention repose alors sur la mobilisation prévisionnelle des moyens de lutte, qu’il s’agisse des sapeurs-pompiers des différents services d’incendie et de secours (déployés dans les massifs sensibles aux côtés des agents forestiers, des comités communaux feux de forêt) ou des moyens nationaux qui y prennent toute leur part.

Les moyens aériens jouent un rôle prépondérant dans la stratégie d’attaque des feux naissants : ils peuvent rapidement être les premiers sur les lieux d’un incendie, grâce au dispositif unique de surveillance mis en place en France, le guet aérien armé. Il appartient alors aux moyens terrestres d’exploiter leurs largages et d’achever l’extinction. Dans les autres cas, les moyens aériens appuient l’action des équipes au sol. Sans leur concours, l’objectif d’intervenir en période de risques sur les départs de feu avec un délai inférieur à 10 minutes ne pourrait pas être atteint dans les secteurs difficiles d’accès.

Afin de limiter le développement important des incendies, l’attaque précoce doit être concomitante avec un engagement massif de personnels et de matériels afin de limiter le développement d’un sinistre et de perdre sa maîtrise.

 

Une évaluation précise et quotidienne du danger

Grâce à une intense collaboration avec Météo-France, l’Office national des forêts (ONF), les services d’incendie et de secours (SIS) et l’Association régionale de Défense de la Forêt contre les Incendies (ARDFCI), les centres opérationnels disposent quotidiennement d’éléments d’évaluation du risque incendie de forêt. La coopération avec ces services permet de perfectionner les analyses conduites et d’affiner l’appréciation du danger. Par exemple en été, dans les départements de l’arc méditerranéen, une cellule de prévisionnistes de Météo-France spécialisés dans l’analyse du danger météorologique d’incendie est mise en place au sein du centre opérationnel de la zone Sud. Les analyses fournies par cette cellule sont consolidées par les travaux menés par l’ONF sur la sensibilité au feu des végétaux et par la remontée d’information des services d’incendie et de secours.

Parmi les nouvelles mesures décidées par le Gouvernement à la suite des incendies de l’été 2022 figure la mise en service d’une « météo des forêts ».

Annoncée devant l’ensemble des acteurs de la lutte contre les feux de forêt réunis à l’Élysée le 28 octobre 2022 par le Président de la République, la météo des forêts vise à informer les citoyens sur le risque de feux de forêt et de végétation afin qu’ils adoptent les bons comportements pour éviter les incendies et s’en protéger.

La météo des forêts apportera une information synthétique aux citoyens sur la sévérité du risque feu, pour les deux prochains jours, à partir des prévisions des conditions propices à l’éclosion et à la propagation de feux de forêts et de végétation: pluie, humidité et température de l’air, force du vent, état de sécheresse de la végétation.

L’information cartographique se présentera sous la forme d’un niveau de risque par département, sur une échelle de 4 niveaux.

Des messages de prévention accompagneront les niveaux de risque les plus élevés, afin de rappeler les bons réflexes et éviter les comportements à risque dans les régions et périodes identifiées.

L’information cartographique sera produite tous les jours par Météo-France en fin d’après- midi, de mi-mai à fin septembre, avec une première carte qui présente le niveau de risque pour la journée du lendemain, et une seconde carte pour le surlendemain.

Elle sera diffusée par Météo-France sur ses supports digitaux et a vocation à être relayée largement par les médias.

 

Feux de forêts

DISPOSITIF DE LUTTE 2023

Feux de forêts

Depuis plusieurs années, le dispositif national de lutte contre les feux de forêt évolue pour faire face à l’évolution du risque, notamment pour tenir compte de la remontée des feux d’espaces naturels vers le centre et nord de la France, en lien avec le dérèglement climatique.

Devant l’ensemble des acteurs de la lutte contre les feux de forêt réunis à l’Élysée le 28 octobre 2022, le président de la République a annoncé des mesures concrètes pour prévenir les incendies, renforcer les moyens de lutte et reboiser les forêts.

Pour la campagne 2023, le dispositif national est donc renforcé par de nombreux moyens terrestres et aériens et une organisation encore plus réactive pour l’ensemble du territoire.

Les moyens aériens sont désormais gérés au niveau national, via un centre avancé du centre opérationnel de gestion interministérielle des crises (COGIC), actif à partir du 1er juin sur la base de Sécurité civile de Nîmes-Garons (Gard). Ainsi, selon le niveau de risque et l’importance des sinistres, ce centre avancé sera chargé de faire la répartition des moyens aériens sur l’ensemble du territoire au plus près des besoins.

Chaque jour, la Sécurité civile est en capacité de mobiliser 35 aéronefs bombardiers d’eau (soit 9 de plus qu’au plus fort de la saison 2022), 3 aéronefs de reconnaissance et jusqu’à 10 000 sapeurs-pompiers et sapeurs-sauveteurs (dont 3500 personnels via les colonnes de renfort) ceci tout au long de la période estivale et au-delà si les conditions météorologiques le nécessitent.

Au premier niveau d’intervention, la lutte contre les feux incombe aux sapeurs-pompiers du service départemental d’incendie et de secours. Les moyens sont déployés en fonction de l’ampleur de l’événement. Si l’évolution du sinistre nécessite des besoins supplémentaires, des renforts intra-zonaux, extra-zonaux, puis nationaux peuvent être mis en place. Les colonnes de renfort zonales sont composées de moyens sapeurs-pompiers extradépartementaux qui sont mobilisés à la demande du préfet de département par le biais du Centre opérationnel zonal si les capacités de réponse départementales sont dépassées.

En 2023, le nombre de colonnes de renfort sera porté à 51 (contre 44 au plus fort de la saison 2022). Elles sont chacune équipées d’un véhicule de commandement et de soutien et de trois groupes d’intervention feux de forêt (GIFF), représentant 70 sapeurs-pompiers.

En complément de ces moyens, 650 femmes et hommes des formations militaires de la Sécurité civile (ForMiSC) viennent renforcer ce dispositif. Ces sapeurs-sauveteurs peuvent intervenir sur tout le territoire national ainsi qu’à l’étranger dans le cadre du Mécanisme de protection civile de l’Union. Leur organisation permet de renforcer l’action des sapeurs- pompiers zonaux grâce à la mise en œuvre de moyens spécialisés (section intervention feux de forêt, groupe d’a pui, détachement d’intervention retardant, détachement d’intervention hélipor…).

En 2023, en complément du dispositif déjà mis en place les années précédentes, un détachement d’intervention retardant sera positionné en zone Sud-ouest.

Durant toute la campagne feux de forêt, le Protocole Héphaïstos liant le ministère des Armées et le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer permet le déploiement de militaires intégrés au dispositif des formations militaires de la Sécurité civile.

En 2023, le protocole Héphaïstos sera désormais opérationnel sur l’ensemble du territoire national et sera renforcé par 3 unités d’appui et 4 sections à pied, représentant jusqu’à 150 militaires supplémentaires mobilisés notamment pour la création de pistes et de coupe-feux.

 

MOYENS AÉRIENS
« Basée à la base de Sécurité civile de Nîmes-Garons (Gard), la flotte de la Sécurité civile se compose de 12 Canadair (bombardier d’eau), de 7 Dash (bombardier d’eau, transport de matériel et de personnels), de 3 Beech (mission de reconnaissance et de transport) et de 37 hélicoptères Dragon (mission de secours à personne et de transport) qui sont pour ces derniers répartis dans 23 bases sur l’ensemble du territoire.
Afin de se ravitailler en eau et en produit retardant, les moyens aériens peuvent s’appuyer sur 22 pélicandromes répartis sur l’ensemble du territoire.
À l’instar des années précédentes, ces moyens nationaux peuvent s’appuyer sur le concours des moyens départementaux protocolisés (3 avions et 6 hélicoptères bombardiers d’eau). »

En 2023, l’arrivée du 8e Dash en juin permettra de compléter la flotte de bombardiers d’eau.
Un 9e Dash est en cours de location pour être opérationnel cet été.
En 2023, 4 avions bombardiers d’eau de type Air Tractor seront loués à partir du 1er juillet.
En 2023, jusqu’à 10 hélicoptères bombardiers d’eau seront loués au cœur de la saison dont 2 rejoindront la flotte nationale dès le début du mois de juin et 4 pourront être employés jusqu’à fin septembre.
En 2023, un deuxième Beech sera équipé d’une boule optronique, permettant une analyse précise et en direct d’un feu pour aider à la décision opérationnelle.

Conformément aux annonces du président de la Répu- blique, la flotte de Canadair sera intégralement renouvelée dans les prochaines années et l’acquisition de 4 nouveaux appareils est programmée, portant la flotte à 16 Canadair.

Dans un contexte de généralisation du risque feu de forêt sur le territoire national, le positionnement des moyens aé- riens permet une attaque du feu la plus rapide possible. À l’instar de 2022, deux Canadair seront détachés en Corse à compter du 1er juillet, deux hélicoptères bombardiers d’eau seront positionnés pour la campagne à Corte (Haute-Corse) et au sein de la zone Sud.

En 2023, depuis la mi-mars, un renfort de 2 Dash et de 2 Canadair sera mobilisable en Gironde en fonction des risques.
Un hélicoptère bombardier d’eau sera positionné en zone Sud-ouest à compter du 1er juin et un Dash sera positionné à Bordeaux à partir du 1er juillet.
En 2023, les 4 avions bombardiers d’eau de type Air Tractor seront positionnés à Bordeaux à compter du 1er juillet.

(avec communication)
Prochain dossier: la politique de prévention

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Philippe Brossard-Lotz

Philippe Brossard-Lotz

Le Reporter sablais

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