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Vidéo du Feu d’artifice du 14 juillet aux Sables d’Olonne

Le feu d’artifice du 14 juillet 2016 aux Sables d’Olonne est dû à Jacques Couturier le spécialiste en feux d’artifice. De l’avis de tous, celui-ci fut d’une grande beauté. Il n’est pas musical et entend donc être à l’état pur ! Son titre « Pleins feux sur Les Sables d’Olonne » montre l’ampleur que son concepteur entendait lui donner grâce à la longueur de la petite jetée qui permet la création d’un véritable espace scénique. Une large palette d’effets pyrotechniques a été utilisée avec quatre grandes séquences. L’accent a été mis sur un enchaînement sans interruption et sur une puissance de feu s’accentuant en crescendo: un feu d’artifice à l’état pur ! Le spectacle est devenu inoubliable pour beaucoup !

Jacques Couturier - Feux d'artifice
Jacques Couturier – Feux d’artifice

Ecoutons Jacques Couturier  :
Le spectacle est conçu comme un scénario
Lorsqu’on lui demande comment il agit pour apporter de la nouveauté tous les ans pour éviter que les gens n’aient l’impression d’un « déjà vu », Jacques Couturier nous répond que « la nouveauté est dans la composition du spectacle et non dans la recherche d’une nouvelle gamme. » Il ajoute aussi qu’il y a « une recherche d’un fil directeur pour le maintien de l’intérêt du spectateur. »
A cela s’ajoutent des variations de sonorités, des variations de tableaux, monochromes ou polychromes. « Le spectacle est conçu comme un scénario avec une montée en puissance jusqu’à l’apothéose qui est essentiel pour le public » précise-t-il aussi.
Sans qu’on ne lui pose la question, il s’amuse à souligner qu’il a horreur qu’on lui demande combien de tonnes de poudre il utilise.. ! « Ce n’est pas un critère essentiel, ce qui compte c’est la qualité des poudres, des effets. »
Jacques Couturier fait se métier depuis 28 ans et il n’a pas perdu la passion assure-t-il, indiquant « qu’il aime donner du bonheur aux gens surtout par les temps qui courent. » Une sorte de relation humaine se crée entre le feu d’artifice et le public, un lien sensible et irrationnel se ressent à travers l’écriture du scénario : ainsi expose-t-il les liens qui l’unissent au public.
Même si des nouveautés sont toujours incluses, par exemple des changements de couleurs ou dans les architectures des tableaux,  « il faut malgré tout du déjà vu car autrement le public est frustré ; en effet, il y a des tableaux incontournables : les saules-pleureurs ou les sifflets. »
Philippe Brossard-Lotz
Le Reporter sablais

VIDÉO DU FEU D’ARTIFICE DU 14 JUILLET 2016


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