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LES CHIFFRES DE L’INSECURITE EN 2020

Janvier 2021

Insécurité et délinquance en 2020 : une première photographie

Dans le contexte exceptionnel de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19, marqué par deux périodes de confinement national de la population (du 17 mars au 10 mai et du 30 octobre au 14 décembre 2020), la plupart des indicateurs de la délinquance enregistrée par les services de police et de gendarmerie reculent fortement en 2020.

Le confinement entraîne une baisse de la délinquance
Ainsi, les baisses sont très nettes pour les vols sans violence contre les personnes (-24 %), les cambriolages de logements (-20 %), les vols violents sans armes (- 19 %), les vols d’accessoires sur véhicules (-18 %), les vols dans les véhicules (-17 %), les vols de véhicules (-13 %), les destructions et dégradations volontaires (-13 %) et dans une moindre mesure les vols avec armes (-8 %). Ces indicateurs ont enregistré une chute drastique lors du premier confinement : en fin d’année 2020, ils restent sensiblement inférieurs aux niveaux observés avant le début de la crise sanitaire après s’en être rapprochés pendant l’été.
Par ailleurs, le nombre d’homicides diminue aussi en 2020 (863 victimes) alors qu’il était en hausse ces deux dernières années.

Néammoins, certains indicateurs continuent leur hausse
En revanche, les indicateurs qui enregistraient une forte hausse en 2019 augmentent de nouveau en 2020, dans le contexte de la crise sanitaire, mais de manière plus modérée : les violences sexuelles (+3 % après +12 % en 2019), les escroqueries (+1 % après +11 % en 2019) et les coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus (+1 % après +8 % en 2019).
La très légère hausse des coups et blessures volontaires résulte essentiellement de la forte augmentation des violences intrafamiliales enregistrées (+9 %) : hors violences intrafamiliales, les coups et blessures volontaires diminuent nettement en 2020 (-7 %).

Dans ce contexte, les tendances nationales de chaque indicateur – à l’exception des coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus – se retrouvent sur la quasi-totalité des régions et des départements, avec néanmoins une ampleur qui peut être variable selon les territoires, y compris en Outre-mer.

(Sources: Service statistiques ministériel – Scurité intérieure) 

 

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En 2020, très légère hausse des coups et blessures volontaires enregistrés, en lien avec celle plus importante des violences intrafamiliales
Dans le contexte de la crise sanitaire, le nombre de victimes de coups et blessures volontaires (CBV) sur personnes de quinze ans ou plus enregistrées par les services de sécurité augmente très légèrement en 2020 (+1 %). Cette hausse fait suite à de fortes augmentations (+8 %) observées en 2019 et 2018.
Le nombre de victimes de CBV a reculé au cours des premier et deuxième trimestres de l’année 2020 incluant le premier confinement de la population, mais dans des proportions bien moindres que d’autres indicateurs de la délinquance (vols contre les personnes, cambriolages de logements). Partant d’un niveau bas atteint à la fin du premier semestre, l’indicateur a ensuite enregistré un rebond important au troisième trimestre, retrouvant son niveau d’avant la crise sanitaire, puis une baisse, là aussi d’ampleur moindre que d’autres indicateurs, au dernier trimestre de l’année 2020 incluant le deuxième confinement de la population (figure 4). En fin d’année 2020, le nombre de victimes de CBV est nettement inférieur au niveau observé avant le début de la crise sanitaire.
Parmi les coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus, le nombre de violences intrafamiliales continue de s’accroître fortement en 2020 (+9 %) dans le contexte de la crise sanitaire après des hausses très marquées les deux années précédentes (+14 % en 2019, +10 % en 2018). (….)

 

Dans le contexte de la crise sanitaire, le nombre de victimes de violences sexuelles enregistrées par les services de sécurité augmente en 2020 (+ 3 %). Cette augmentation fait suite à de très fortes hausses observées en 2019 (+12 %) et 2018 (+19 %).
Le nombre de victimes de violences sexuelles a diminué au cours des premier et deuxième trimestres de l’année 2020 incluant le premier confinement de la population, mais dans des proportions moindres que d’autres indicateurs de la délinquance (vols contre les personnes, cambriolages de logements). Partant d’un niveau bas atteint à la fin du premier semestre, l’indicateur a ensuite enregistré un rebond important au troisième trimestre puis une baisse, là aussi d’ampleur bien moindre que d’autres indicateurs, au dernier trimestre de l’année 2020 incluant le deuxième confinement de la population (figure 8). En fin d’année 2020, le nombre de victimes de violences sexuelles est proche du niveau observé avant le début de la crise sanitaire.
Alors que la forte hausse observée ces dernières années pour les viols se poursuit en 2020 (+11 %), les autres agressions sexuelles enregistrent une baisse (-3 %) après des hausses en 2019 et 2018. Ainsi, parmi les violences sexuelles enregistrées, les viols ou tentatives de viols représentent 45 % des faits constatés en 2020, en augmentation par rapport aux années précédentes (42 % en 2019, 40 % en 2018).
L’augmentation sensible des violences sexuelles enregistrées ces dernières années s’explique notamment par une évolution du comportement de dépôt de plainte des victimes, dans le climat de l’affaire Weinstein et des différents mouvements sur les réseaux sociaux pour la libération de la parole des victimes. En outre, l’augmentation des violences sexuelles enregistrées s’inscrit dans un contexte d’amélioration des conditions d’accueil des victimes par les services.
Le nombre de victimes de violences sexuelles enregistrées sous-estime encore largement le phénomène. En effet, en moyenne, chaque année entre 2011 et 2018, 176 000 personnes âgées de 18 à 75 ans de France métropolitaine ont été victimes de violences sexuelles de la part d’une (ou plusieurs) personne(s) « hors ménage » selon l’enquête CVS. Les victimes de violences sexuelles hors ménage sont ainsi peu nombreuses à déposer formellement plainte dans un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie. Ainsi, selon l’enquête CVS, sur la période 2011-2018, seules 12 % de ces victimes ont fait cette démarche.

 

 

 

 

Cambriolages de logements
Partant du même niveau que les années précédentes, les cambriolages de logements enregistrés par la police et la gendarmerie ont très fortement diminué durant le premier confinement, avec une chute drastique de 79 % entre la semaine du 9 au 15 mars 2020 et la semaine du 23 au 29 mars 2020, passant de 4 300 à 900 cambriolages. Durant toute la durée du premier confinement, cet indicateur est resté bien en-dessous des niveaux enregistrés aux mêmes périodes en 2018 et 2019. Ainsi, malgré une lente remontée observée à partir de début avril qui s’est nettement accélérée à la sortie du confinement, le nombre de cambriolages s’est maintenu à un niveau inférieur à ceux enregistrés les années précédentes jusqu’à fin juin. Si, de juillet à octobre, cet indicateur est resté proche des niveaux de 2018 et 2019, il a enregistré un très fort recul sur les premières semaines du deuxième confinement sanitaire : -43 % entre la semaine du 26 octobre au 1er novembre et la semaine du 9 au 15 novembre. Malgré une remontée progressive à partir de mi-novembre, cet indicateur se situait sur la fin de l’année à des niveaux très nettement inférieurs à ceux des années précédentes.

Les cambriolages de logement plus fréquents dans les très grandes agglomérations
Le nombre de cambriolages enregistrés pour 1 000 logements est relativement proche dans les zones rurales, les petites et les moyennes agglomérations (figure 23). Dans ces territoires, un peu moins de 4 logements sur 1 000 ont subi un cambriolage au cours de l’année 2020 d’après les enregistrements des forces de sécurité. Le taux de cambriolage de logements est un peu plus élevé dans les agglomérations ayant entre 50 000 et 200 000 habitants. Au-delà de 200 000 habitants, le taux atteint respectivement 7,5 et 7,2 cambriolages pour 1 000 logements dans les agglomérations de province et l’agglomération parisienne. Ainsi, le nombre de cambriolages par logement est 2,0 fois supérieur dans les très grandes agglomérations à celui enregistré dans les zones rurales ou les petites et moyennes unités urbaines.

Les régions globalement les plus touchées sont l’Île-de-France et la région Provence- Alpes-Côte d’Azur avec respectivement 7,1 et 6,4 cambriolages pour 1 000 logements. Plus précisément, deux ensembles de départements à forts taux de cambriolages de logements se distinguent (figure 24) : du Nord jusqu’à l’Île-de-France en passant par l’est du bassin parisien et de la Vallée du Rhône jusqu’à l’Hérault et le Bouches-du- Rhône. La Loire-Atlantique, la Gironde et la Haute-Garonne figurent également parmi les départements les plus concernés par les cambriolages de logements en 2020 d’après les enregistrements des forces de sécurité, avec plus de 7,5 cambriolages pour 1 000 logements. En revanche, les départements les moins affectés par les cambriolages de logements sont les deux départements corses, la Lozère, la Manche, les Hautes-Alpes et le Cantal avec moins de 1,7 cambriolages pour 1 000 logements.

 

 

Vols sans violence contre des personnes
Un peu supérieur aux niveaux de 2018 et 2019 en début d’année, le nombre de vols sans violence contre des personnes a drastiquement diminué au début du premier confinement, passant de 13 200 à 2 300 victimes entre la semaine du 9 au 15 mars 2020 et la semaine du 23 au 29 mars 2020, soit une chute de 83 %. Une particularité de cet indicateur est qu’il s’est ensuite maintenu tout le long de l’année 2020 à un niveau inférieur à ceux des années précédentes. En effet, malgré une progressive remontée à partir de fin mars qui s’est accélérée à la sortie du confinement, le nombre de vols sans violence contre les personnes est resté inférieur au niveau de 2019 pendant l’été alors que la plupart des autres indicateurs de la délinquance ont rattrapé voire dépassé leurs niveaux de 2019 sur cette période. L’indicateur a enregistré une baisse à partir de mi-septembre qui s’est nettement amplifiée lors des premières semaines du deuxième confinement national : -30 % entre la semaine du 26 octobre au 1er novembre et la semaine du 9 au 15 novembre. Malgré une remontée progressive à partir de mi-novembre, cet indicateur se situait sur la fin de l’année à des niveaux nettement inférieurs à ceux des années précédentes.

 

Nette baisse des vols avec armes en 2020…
Dans le contexte de la crise sanitaire, les vols avec armes enregistrés par les services de sécurité diminuent nettement en 2020 (-8 %) après une très légère baisse (-1 %) en 2019.
Le nombre de vols avec armes a fortement diminué au cours des premier et deuxième trimestres de l’année 2020 incluant le premier confinement de la population (figure 11). Partant d’un niveau historiquement bas atteint à la fin du premier semestre, l’indicateur a ensuite enregistré un rebond important au troisième trimestre puis une forte baisse au dernier trimestre de l’année 2020 incluant le deuxième confinement de la population. En fin d’année 2020, le nombre de vols avec armes est nettement inférieur au niveau observé avant le début de la crise sanitaire. …excepté en Nouvelle-Aquitaine, en Bretagne et en Occitanie
Les vols avec armes enregistrés sont fortement concentrés dans les grandes agglomérations : leur nombre rapporté à la population augmente de manière très significative avec la taille des agglomérations. En 2020, le taux pour 1 000 habitants dans l’agglomération parisienne, soit 0,20 vol pour 1 000 habitants, est 9,5 fois supérieur à celui des communes rurales et 2,9 fois supérieur à celui des agglomérations ayant entre 20 000 et 50 000 habitants.

Vols violents sans arme
Dans le contexte de la crise sanitaire, les vols violents sans armes enregistrés par les services de sécurité diminuent fortement en 2020 (-19 %) après une légère baisse (-2 %) en 2019.
Le nombre de vols violents sans armes a chuté drastiquement au cours des premier et deuxième trimestres de l’année 2020 incluant le premier confinement de la population (figure 14). Partant d’un niveau historiquement bas atteint à la fin du premier semestre, l’indicateur a ensuite enregistré un rebond important au troisième trimestre puis une forte baisse au dernier trimestre de l’année 2020 incluant le deuxième confinement de la population. En fin d’année 2020, le nombre de vols violents sans armes est nettement inférieur au niveau observé avant le début de la crise sanitaire.
Depuis 2014, les vols avec violences ne connaissent pas de tendance nette selon l’enquête CVS contrairement aux enregistrements de ces infractions par les forces de sécurité qui sont orientées à la baisse. Si le nombre de victimes de vols ou de tentatives de vols avec violences ou menaces avait légèrement diminué entre 2017 et 2018, la tendance est plutôt irrégulière sur plus longue période. En moyenne entre 2011 et 2018, un peu moins de deux victimes d’un vol violent sur trois (63 %) ont porté plainte dans un commissariat ou une brigade de gendarmerie. En 2020, le tiers des vols violents sans arme enregistrés ont lieu à Paris ou en Seine-Saint-Denis

 

Nombre de vols de véhicules enregistrés pour 1 000 habitants en 2020, par taille d’unité urbaine Les vols de véhicules enregistrent une nette baisse en 2020
Dans le contexte de la crise sanitaire, les vols de véhicules enregistrés par les services de sécurité diminuent nettement en 2020 (-13 %) après une légère baisse (-2 %) en 2019.
Le nombre de vols de véhicules a fortement diminué au cours des premier et deuxième trimestres de l’année 2020 incluant le premier confinement de la population (figure 26). Partant d’un niveau historiquement bas atteint à la fin du premier semestre, l’indicateur a ensuite enregistré un rebond important au troisième trimestre puis une forte baisse au dernier trimestre de l’année 2020 incluant le deuxième confinement de la population. En fin d’année 2020, le nombre de vols de véhicules est nettement inférieur au niveau observé avant le début de la crise sanitaire.
A l’instar de la tendance enregistrée par les forces de sécurité, le nombre de vols et tentatives de vols de deux-roues à moteur est en baisse selon l’enquête CVS et atteint son niveau le plus bas en 2018. De la même façon, le nombre de vols ou tentatives de vols de voitures a diminué de près d’un quart entre 2016 et 2018. En moyenne, sur la période 2011-2018, 80 % des ménages victimes d’un vol de deux-roues à moteur et 92 % des ménages victimes d’un vol de voiture ont formellement déposé plainte dans un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie selon l’enquête CVS. Plus de la moitié des ménages (54 %) dont la voiture a été volée finissent par la retrouver contre 39 % pour les ménages victimes d’un vol de deux-roues à moteur sur la période 2011-2018.
Le nombre de vols de véhicules par habitant augmente avec la taille des agglomérations. Il est relativement homogène dans les petites, moyennes et grandes agglomérations : 1,1 vol pour 1 000 habitants a été enregistré en 2020 dans les villes comptant entre 2 000 et 5 000 habitants, ce taux augmente jusqu’à 1,7 ‰ dans les agglomérations ayant entre 100 000 et 200 000 habitants. Les très grandes agglomérations de province et l’agglomération parisienne sont quant à elles relativement plus touchées par le vol de véhicules : en 2020, le taux de vols par habitant atteint respectivement 2,6 ‰ et 3,0 ‰. Ce dernier taux est notamment 3,2 fois supérieur à celui enregistré dans les zones rurales (0,9 ‰).

En 2020, 29,0 % des vols de véhicules se sont produits en Île-de-France. Rapporté à 1 000 habitants le taux de vols de véhicules est particulièrement élevé dans les Bouches-du-Rhône (4,6 vols pour 1 000 habitants contre 5,0 ‰ en 2019) relativement aux autres départements, et ce en dépit des confinements sanitaires (figure 28). Le Val-d’Oise enregistre également un fort taux de vols de véhicules en 2020, de 3,5 pour 1 000 habitants (contre 4,1 ‰ en 2019), tout comme la Seine-Saint-Denis (3,4 ‰ contre 4,0 ‰), Paris (3,3 ‰ contre 4,2 ‰), le Val-de-Marne (3,2 ‰ contre 3,3 ‰) ou le Rhône (2,7 ‰ contre 2,9 ‰). Hors Île-de-France, cette forme de délinquance est globalement plus présente sur le pourtour méditerranéen, dans la Vallée du Rhône, ainsi que dans certains départements de la façade atlantique (Loire-Atlantique et Gironde notamment) et dans le Nord. Vols de véhicules enregistrés : la baisse de 2020 par rapport à 2019 portée par les départements les plus concernés habituellement

La baisse du nombre de vols de véhicules en 2020 par rapport à 2019 est enregistrée sur une grande partie du territoire. Les départements les plus contributeurs à la baisse nationale (-13 %) sont notamment ceux qui enregistrent les plus forts taux de vols par habitant comme Paris (contribution de -1,5 point à la baisse nationale), la Seine-Saint-Saint-Denis (-0,6 point), les Bouches-du-Rhône (-0,6 point) ou encore le Val-d’Oise (-0,6 point). A l’inverse certains départements se démarquent avec une forte hausse du nombre de vols de véhicules en 2020 relativement à 2019, d’un peu moins de 50 % comme la Lozère et la Nièvre ou,

 

 

Certaines statistiques dépendantes du taux de dépôt de plainte

 

 

 

Taux de dépôt de plainte: proportion de victimes déclarées ayant déposé plainte
Les enquêtes annuelles de victimation Cadre de vie et sécurité (CVS) fournissent un éclairage complémentaire indispensable à l’analyse des données administratives issues des procédures enregistrées par la police et la gendarmerie. Elles fournissent des résultats sur les faits de délinquance subis par la population, y compris les victimes qui n’ont pas été comptabilisées par les forces de sécurité parce qu’elles n’ont pas déposé plainte, et elles permettent également de mesurer les taux de dépôt de plainte. Ces taux correspondent à la proportion de victimes ayant déclaré avoir déposé plainte dans un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie. Pour certaines atteintes, les données collectées annuellement ne sont pas suffisantes pour évaluer de façon fiable les taux de dépôt de plainte. Pour pallier cette difficulté, cinq années de collecte ont été cumulées sur les périodes 2009 à 2013 et 2014 à 2018 pour obtenir un échantillon de taille suffisante.

LES CHIFFRES 2020 pour la VENDÉE
Come indiqué ci-dessus, une grande partie des faits délictueux sont en baisse en raison des confinements dus à la pandémie Covid.
Ainsi, les cambriolages passent de 1412 à 1188. Les vols de véhicules baissent de 720 à 615, tout comme les vols dans les véhicules: 1451 à 1075.
Les vols, avec ou sans violence, sont également en baisse. Les premiers de 119 à 92, les seconds de 3680 à 2866 cas.
A l’inverse, les coups et blessures volontaires sont à la hausse, passant de 1664 à 1821 cas.

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Philippe Brossard-Lotz
Le Reporter sablais
lereportersablais@gmail.com

 

 

 




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